
LIBRE CHOIX VACCINAL
pour respecter chacun dans sa manière d'appréhender sa santé
DOCTEUR
En premier lieu, je tiens à dire tout le respect que j'ai pour ces hommes et femmes de terrain, qui après sept longues années d'étude sont sur le front pour accomplir une des missions les plus nobles : soigner.
Mais pendant cette longue formation, combien d'heures consacrées à la vaccination ? Une poignée seulement. A la faculté, interdiction d’émettre le moindre doute sur les vaccins. Ensuite installé, le docteur reçoit régulièrement des secrétaires médicaux ou des informations des labos.
Les docteurs ont des avis très variés sur les vaccins. Cela va du plus zélé à contrôler le carnet de santé avant d’avoir dit bonjour, au médecin qui accepte la discussion, sans vacciner, souvent des homéopathes d’ailleurs. Pour avoir discuté avec quatre médecins conventionnels différents, ils avaient chacun leur vaccin marotte, en se souciant peu des autres vaccins… Si le docteur fait “bien son travail”, il reçoit une prime de performance. La sécurité sociale préfère parler de “rémunération sur objectifs de santé publique” (Rosp). Parmi ces objectifs, vous ne serez pas surpris d’y trouver la vaccination. L’objectif de l’état est clair : vacciner à tout va, et pas seulement faire appliquer l’obligation vaccinale (qui était à l’époque de l’article de presse ci-dessous de 3 valences). Voici ce que répond la Sécurité Sociale au journal Les echos :
Accélération nécessaire
Les résultats sont beaucoup moins probants pour la prévention. La part des patients de plus de 65 ans vaccinés contre la grippe a reculé. L'Assurance-maladie déplore « une défiance croissante de la population vis-à-vis de la vaccination ». Les dépistages des cancers du sein et du col de l'utérus diminuent eux aussi. « Les débats actuels à propos des mammographies et des vaccins contre les papillomavirus, destinés à prévenir le cancer du col de l'utérus, tendent à brouiller les repères des patients », poursuit-elle. « Cette année, nous devrons accélérer pour obtenir de meilleurs résultats, notamment dans le domaine de la prévention », a déclaré Frédéric Van Roekeghem.
Ainsi, même si le médecin ne pense pas qu’il soit utile de vacciner telle ou telle personne et que le vaccin n’est pas obligatoire, il va être incité financièrement à le faire, quelque soit la validité des débats! Un état totalitaire aurait utilisé la violence, là où notre démocratie utilise d’autres moyens bien plus subtils : l’argent (“gratuité” des vaccins, prime pour les médecins) et la négation des débats.

