top of page

La vaccination en question

Dans ce chapitre, je présente des arguments sous l'angle scientifique. Mon intention n'est pas de convaincre à tout prix que j'ai raison, juste de faire comprendre que je ne suis ni un poète, ni un obscurantiste illuminé, comme se complaisent à le dire certains politiques ou médias à propos des "antivaccins". Selon moi, il y a de vraies problématiques qui méritent d'être débattues et de façon apaisée !

infirmière.jpg

Le mythe de la vaccination antivariolique

Commençons par la variole, fièrement proclamée par les pro vaccins comme éradiquée grâce à la vaccination. Ci-dessous, le rapport OMS n° 493 de 1972. La vaccination a elle seule n'a pas vaincu la variole. Même l'OMS le reconnaît, c'est tout dire...

C'est la stratégie de la "surveillance endiguement" qui a permis l'éradication, et aucun scientifique ne peut dire à quelle hauteur la vaccination a joué !

variole.jpg
infirmière.jpg

Le DTP et le BCG

Si vous êtes nés dans les années 1960 et après, vous avez été soumis à 4 obligations vaccinales, exposées ci-dessous. Aucune des quatre valences n'a retenu mon assentiment, voici quelques arguments.

La tuberculose

Il est considéré comme acquis par les "pro vaccins" que le BCG a permis de faire reculer la tuberculose. J'en doute fort au regard de ce graphique.

Devinez quand a été introduit la vaccination BCG ?

Et oui... au point E. Cette courbe descendante bien avant le vaccin est la même pour tous les pays d'Europe. Vous aurez aussi deviné que les deux pics que l'on voit au 20ème siècle correspondent aux deux guerres mondiales.

Ce que j'en pense (je ne suis pas le seul!!!) : l'amélioration de l'hygiène a été déterminant dans la lutte contre la tuberculose, et pas du tout le BCG.

Au fait, le saviez-vous ? L'obligation du BCG a été votée en 1950, sous pression de l'Institut Pasteur, la veille des vacances de Noël, alors que le président du Sénat était... aussi le président de l'Institut Pasteur !

Aujourd'hui, aucune raison d'avoir peur de la tuberculose, rare et liée à de mauvaises conditions de vie. Je choisis de ne pas me vacciner (le BCG n'est plus obligatoire depuis 2007, après 10 ans de demande de l'Association des pédiatres de France...).

BCG.jpg
infirmière.jpg

La diphtérie

Si je vous dis que le vaccin a été inventé au point B, quand la vaccination a-t-elle été rendue obligatoire ? 

Au point E ! 

Bien sûr, je n'accuserai pas la vaccination d'avoir provoqué le pic qui suit, mais elle n'a pas empêché les effets de la guerre sur la diphtérie.  Et puis après, l'amélioration de l'hygiène (alimentaire notamment) et de la médecine en général ont fait le reste.

Aujourd'hui, demandez à votre médecin français s'il a vu un cas de diphtérie dans sa vie... rien depuis 40 ans ! Pour les statistiques, rendez-vous sur le site officiel de l'Institut de Veille Sanitaire.

Je ne souhaite pas me faire vacciner contre une maladie qui n'existe plus depuis belle lurette. Une obligation vaccinale qui n'a pas de sens ici car le vaccin antidiphtérique est égoïste.

diphtérie.jpg
infirmière.jpg

Le tétanos

Rien que de lire ce mot, ça fait peur... Le tétanos continue de faire des milliers de morts en Afrique. Il s'agit essentiellement du tétanos néo natal (et aussi lié à la circoncision). Le site de l'OMS informe que la mortalité est liée à un manque de vaccination. Je ne le pense pas une seconde. La Chine, plutôt que de vacciner, a choisi d'investir dans la construction de maternités : le tétanos a immédiatement disparu. Mais c'est peut-être moins vendeur pour Pampers qui régulièrement fait la publicité "un paquet acheté, un vaccin offert". 

En France : le tétanos fait en moyenne 4 morts par an, des personnes âgées. Je vous propose de comparer ces deux graphiques émanant de l'Inserm. Quelle différence voyez-vous ?

Ils ne commencent pas aux mêmes dates, en effet, et ça change quoi ? C'est comme pour le BCG; le 1er graphique fait croire que c'est la vaccination obligatoire qui a fait chuter le tétanos... Il était déjà très bas avant la 2ème guerre mondiale.

Aujourd'hui, si je jardine et que je me blesse légèrement, je fais saigner, impossible alors pour le tétanos de se développer car j'apporte de l'oxygène dans la plaie évitant la spore de se développer. Je ne souhaite pas me faire vacciner. D'ailleurs l'obligation n'a aucun sens ici si j'utilise l'argumentaire des pros vaccins, puisque si je me vaccine, je ne protège en aucun cas les autres. Pourquoi le tétanos fait-il parti des vaccins obligatoires ?

tatanos1.jpg
tétanos2.jpg
Nombre de décès
infirmière.jpg

La polio

Lorsque j'observe cette courbe, il semble bien impossible d'expliquer l'évolution de la polio en France, tant elle est erratique. 

On pourrait penser que le vaccin a fait reculer la maladie sur les dernières années. C'est probable mais une précision surprenante vient relativiser les chiffres de cette courbe : le nombre de morts par rapport au nombre de malades passe de 10% en 1955 à 51% en 1968 ! La maladie s'aggrave après la vaccination. De nombreux scientifiques s'accordent à dire qu'en France, c'est le vaccin oral qui a été déclencheur de la baisse, et pas le vaccin injecté utilisé au début.

poliomyélite.jpg

Les derniers cas de polio en France sont dûs au vaccin antipolio oral dont la dangerosité a entraîné sa suppression au profit du premier vaccin inventé : le vaccin  injecté. L'OMS abandonne progressivement ce vaccin oral, ennuyé par les polios vaccinales qu'il déclenche. Aujourd'hui, je ne souhaite pas me faire vacciner non plus pour une maladie qui n'existe plus en France, et l'obligation vaccinale avec le vaccin français injecté n'a pas de sens car lui aussi est égoïste.

infirmière.jpg

Les autres vaccins obligatoires depuis 2018

Comme vous le savez, se sont ajoutés au DTP huit valences obligatoires pour les enfants nés après le 1er janvier 2018 : le ROR (rougeole, rubéole, oreillon), la coqueluche, haemophilus B (= méningite B), hépatite B, méningocoque C et pneumocoque.

Je ne souhaite pas vous surcharger de chiffres et de graphiques, rendez-vous sur les sites d'ALIS et de la LNPLV et vous pourrez vous faire votre propre opinion.

  • Mon avis sur la rougeole : mortalité extrêmement faible (aujourd'hui, 1 mort par an en moyenne, des adultes depuis l'apparition des vaccins !). Les médias oublient de vous dire qu'il y a comorbidité, comme pour cette femme décédée de la rougeole dans le Poitou le 13 févirer 2018, avec une obésité invalidante puisque la femme ne sortait plus de chez elle depuis deux mois. Les experts souhaitent une couverture vaccinale de 95 % pour stopper la rougeole. Or en Chine et en Mongolie, la couverture est de 99 à 100 %, ce qui n'a pas empêché les épidémies ! La rougeole était classée comme maladie bénigne de l'enfance dans le Vidal avant l'introduction du vaccin...

  • Mon avis sur la rubéole  :  maladie bénigne (en dehors de la grossesse) d'après la sécurité sociale (ameli.fr).

  • Mon avis sur les oreillons : maladie infantile généralement bénigne

  • Mon avis sur la coqueluche : ma fille l'a attrapée (testée positive) à l'âge de 8 ans. Le médecin remplaçant a bien su me dire que j'aurai dû faire vacciner ma fille et qu'il fallait vacciner le reste de la fratrie. Il n'a pas donné d'autres conseils car la médecine conventionnelle ne propose pas de traitement. J'ai décidé de prendre la "santé de ma fille en main" en allant voir un naturopathe qui nous a aidés, notamment en nous prêtant le bol d'air Jacquier. Des quintes de toux très pénibles car fatigantes, qui s'estompent au fil des semaines.  Peut-être pensez-vous comme le médecin ?, je n'avais qu'à faire vacciner ma fille. Deux commentaires : celui qui lui a transmis le virus 3 semaines avant (temps de l'incubation) pendant les 15 jours de vie commune était dûment vacciné ! Mais non testé, bien sûr, puisqu'il est vacciné !!! Le reste de ma famille n'a pas été vacciné, et n'a rien eu. Alors pourquoi ma fille ? Remontons un mois avant : une angine se déclare, on lui prescrit pour la 1ère fois de sa vie des antibiotiques, réaction allergique... J'en conclus à une forte baisse de l'immunité, et c'est l'effet domino. Je vous renvoie au chapitre sur les croyances et la maladie.

  • Mon avis sur l'hépatite B : grâce à des campagnes de prévention ciblées, la courbe de l'hépatite B avait déjà décliné, bien avant la publicité énorme sur le vaccin. Quant au débat sur la sclérose en plaque, il n'est pas clôt, contrairement à ce qu'en pensent les médias.

  • Mon avis sur la méningite à haemophilus influenzae de type (Hib), méningocoque C et pneumocoque : je les réunis car les vaccins concernent donc des méningites bactériennes. Le vaccin est jugé peu efficace par la Société des pédiatres espagnols, sans parler des éventuels effets secondaires. Seul le groupe C des méningocoques détermine les formes les plus dangereuses, mais l'antibiothérapie est efficace.

infirmière.jpg

Absence de pharmacovigilance

pharmacovigilance.jpg

Les vaccins, c'est une affaire de balance entre les "bénéfices et les risques ". Cette pensée paraît communément admise. On pourrait cependant déjà en débattre en s'interrogeant sur l'éthique de faire courir un risque à quelqu'un de bien portant au départ.. Le débat est évoqué à nouveau dans le Dico illustré au mot immunité de masse mais admettons cette idée de balance pour avancer : comment connait-on les risques, si on ne les mesure pas. La loi est très précise sur ce point :

 

 

 

 

 

 

 

 

Vous avez bien lu le mot "suspecté". Le médecin doit enregistrer tout accident vaccinal si il pense qu'il y a un lien avec le vaccin. Voilà qui n'est pas du tout scientifique. Les accidents (tout problème de santé) devraient être enregistrés sans aucune censure. C'est au statisticien ensuite de déceler une éventuelle occurrence entre le problème et un vaccin, et au biologiste de trouver le lien causal. La loi indique aussi que tout parent peut déclarer un accident suite à un vaccin indépendamment du médecin, mais qui le sait ? Autre problème en cas d'accident : le délai, on va jusqu'à quand après le vaccin pour faire le lien ? Là aussi, il ne devrait y avoir aucune censure ! En outre, aujourd'hui les vaccins sont de vrais cocktails, comme avec l'hexavalent (6 valences en 1 seule injection). Comment isoler la valence qui pose éventuellement problème ? Impossible. 

infirmière.jpg

Les adjuvants

De plus en plus de personnes font attention à ce qu'elles mangent. N'est-il pas normal de s'interroger sur ce que l'on nous injecte de force directement dans le corps ? J'ai présenté un petit jeu à l'attachée parlementaire de ma députée (qui n'a pas daigné se déplacer). Voici la question : trouver les 3 ingrédients qui ne figurent dans aucun vaccin. A vous de jouer !

adjuvant.jpg
trump.jpg

L'attachée parlementaire n'a pas trouvé les bonnes réponses, pas même le cacao qui était la seule vraie réponse. "Tout est possible avec les vaccins" m'a-t-elle dit. On en est à ce stade-là de croyance et d'ignorance parmi nos "élites"...

Pour le mercure, l'adjuvant est interdit depuis 2009 en Europe, par "précaution", mais toujours autorisé dans le reste du monde, notamment les Etats-Unis. L'OMS et les autorités sanitaires françaises indiquent que le mercure n'est nullement dangereux. 

Enfin, le 3ème adjuvant intrus était le glyphosate. On en a retrouvé trace car, comme le suggère le site Mediaparte, les porcs (dont on utilise la gélatine) auraient consommé des OGM traités au "merveilleux" produit de Monsanto !

Tous les autres adjuvants peuvent se trouver dans les vaccins. 

Toxiques ? Comment ça, toxiques ? ! 

infirmière.jpg

Absence de toxicologie

Toxicologie : branche des sciences qui étudie les effets de l'accumulation des produits chimiques dans le corps

Dans les vaccins, tout à coup, la toxicité de l'adjuvant disparaît. C'est la magie du test en laboratoire. Le truc ? Y'en a pas. C'est juste que personne ne cherche. ON NE SAIT PAS CE QUE DEVIENNENT LES ADJUVANTS dans le corps de l'enfant qui en reçoit une bonne dose quand on cumule. Les labos n'ont aucune obligation de faire les recherches avant la mise au point. Ces recherches seront éventuellement faites après, en cas d'accidents vaccinaux trop nombreux. Mais encore faut-il les compter correctement. Et si on pose la question au ministre de la santé, il vous répondra que tout ça est "sans danger", qu'il faut faire confiance.

A l'absence de toxicologie des vaccins, je pourrais ajouter l'absence d'études pharmacocinétiques (qui étudient la toxicité dans le temps), de cancérogénicité (le risque de créer un cancer), de génotoxicité (risque de modifier le génome)... et quid de la mutagénèse (mutation des microbes à cause des vaccins) ?

confiance.jpg
infirmière.jpg

La bonne santé des enfants non vaccinés

Une autre approche de la vaccination est possible. Posons-nous cette simple question : les enfants non vaccinés sont-ils en bonne santé "malgré tout" ? Pas si simple d'y répondre car dans le monde occidental, la plupart des enfants ont reçu au moins un vaccin. Françoise Berthoud s'est penchée sur le sujet dans un ouvrage que je vous invite à lire. on y trouve notamment une étude qui porte sur plus de 17000 enfants allemands. Je vous laisse juge de ce graphique (en rouge, les enfants non vaccinés).

Cette étude a fait réagir les instances de santé allemandes. Sans remettre en cause les résultats, ils ont publié un autre graphique montrant que les enfants non vaccinés avaient un risque supérieur d'attraper les maladies pour lesquelles il existe un vaccin. Ouf, l'honneur des vaccins est sauf. J'y mets deux réserves : d'abord celle évoquée au chapitre sur la coqueluche : le diagnostic est-il établi pour tout le monde "à l'aveugle" ? Deuxième réserve : je constate sur leur graphique que des enfants vaccinés sont également touchés par la maladie dont ils étaient sensés être protégés. Cela veut dire concrètement que l'état allemand démontre l'inefficacité vaccinale. Elle arguera sans doute pour sa défense que la balance bénéfices/risques reste en faveur du vaccin.

étude_kiggs.jpg

Etude Kiggs portant sur enfants 17 461 allemands.

Etude Kiggs 2003/2006

étude_kiggs2.jpg
bottom of page